Comment l’économie Israélienne réagit-elle à la guerre?
Ni l’indice boursier TASE ni le Shekel ne se sont effondrés. Depuis le 26 octobre, TASE a même inversé la tendance.
Le shekel est stable et a rebondi de 9% après une chute initiale, vite rattrapée, de 6%.
L’économie israélienne a prouvé sa résilience lors de multiples crises précédentes, a traversé la COVID avec moins de dégâts et a rebondi davantage.
Anne Baer, fondatrice et PDG d’iKare Innovation, le rappelait dans le magazine Challenges, le 18 Octobre : "l’industrie a déjà prouvé sa résilience par le passé. Nous nous sommes remis en mode confinement. Plusieurs de nos clients asiatiques et européens, potentiels investisseurs dans une start-up israélienne, ont décidé de poursuivre les discussions à distance renouant avec Zoom et de "décorréler leur décision du contexte de crise".
Les Echos quand à eux soulignaient la mobilisation des entreprises françaises : tous les CCE Israël sont mobilisés depuis le 7 Octobre, tant aux côtés de leurs employés que de l’ensemble de la société civile israélienne, et de la communauté française d’Israël.
Alors que les estimations du coût de la guerre l’annoncent à hauteur de 10% du GDP, soit la guerre la plus chère d’Israël, Amir Yaron, le gouverneur de la Banque d'Israël, reste confiant dans la capacité de rebond de l’économie israélienne.
Pour lire l’article complet paru dans Challenges, le 18 Octobre 2023 " Guerre avec le Hamas : l’économie israélienne passe aussi en mode combat" par Isabelle de Foucaud et Sabine Syfuss-Arnaud
Pour lire l’article complet paru dans Les Echos, le 17 Octobre 2023: "Comment les entreprises francaises gerent l’urgence" par Ninon Renaud, Bruno Trévidic, Raphaël Balenieri
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